On parle de nous

Power Play – Chapter 37 issue 275 – Juillet 2024

Presse de La Manche – 2 Juillet 2024

Olivier No Limit – 21 Juin 2024 (lien vers chronique)

Salut les gens ! S’il y a bien un pays, de par le vaste monde, qui représente dignement le rock n’roll bien hard, c’est l’Australie. Alors pour ceux que ce genre de musique met en émoi, je voulais vous présenter RUSTHEAD et son album nommé « Gear Up », car c’est le genre de galette taillée 100 pour cent dans le rock de ses grands frères.

À l’écoute de titres comme « Power rock », on a l’impression d’entendre un mélange d’influences via THE ANGELS et ACDC dans ses « early days ». Ça fait du bien à l’âme. « Bullet train » est lui aussi fortement inspiré par la musique de la bande à Angus… Du pur ACDC.

Autre racine musicale, et pas des moindre, « I’m Not A Slave » raisonne en mode boogie rock tel un ROSE TATTOO survitaminé. Cela dit, D.A.D. aurait pu écrire « Cut like A Knife » et au fil des écoutes, on se rend compte que ce groupe a d’autres cartouches dans sa besace. Prenez « Head Up, head Out », on dirait une ballade blues rock à la sauce hard rock vintage.

“Another Way of life” déboule comme un très vieux rock n’roll boosté à l’électricité. Et puis, ils aiment le blues et cela se sent à plein nez quand on découvre « You Drive Me Crazy » avec en guest Ella Gunn et sa voix qui arrache. Et ce n’est pas fini, car « Some Kind Of Monster » est une vraie perle bourrée de feeling bluesy et de muscle. Cela dit, il y a aussi des influences sudistes évidentes sur « running Away ».

En fait, en neuf titres, dont aucun n’est à jeter, ils démontrent, une fois de plus, que le rock n’est pas mort, bien au contraire et que la passion qui les anime est communicative. De plus, sous couvert de l’étendard rock, ils varient quand même pas mal leurs propos alors en ces temps vraiment incertains où la planète devient folle et nous avec, une bonne dose de leur rock fait oublier un temps tout ce marasme et donne de l’espoir, du moins une joie instantanée. Beaucoup aimé.

Metal Eyes – 5 Juin 2024 (lien vers chronique)

Rock and roll! Rusthead débarque avec Gear up, un album 100% pur hard rock n roll qui lorgne totalement et sans complexes du côté d’Angus and co. La guitare craque comme une certaine SG, le groove imparable des riffs évoquent toute la période Bon Scott mais pas que. Formé en 2018 à Cherbourg, Rusthead aime le pub rock australien d’AC/DC, The Angels ou Rose Tattoo autant que le rock énervé made in USA, avec, par instants, de belles intonations sudistes. Loin d’être rouillé, le quatuor développe une énergie communicative, et les 9 titres de ce nouvel album, même s’ils n’inventent rien, sont tellement enjoués qu’ils sont taillés pour la scène. Un groupe sérieux qui ne se prend pas au sérieux (cf. la vidéo de I’m not a slave). A quand une tournée, les gars (et la fille)?

France Metal Museum – Mai 2024 (lien vers chronique)

RUSTHEAD a été fondé en 2018 à Cherbourg-en-Contentin. Le line up du groupe à évolué au fil du temps jusqu’à sa formation actuelle constituée d’Alexandre Lebiez au chant et à la guitare, d’Antoine Giner à la guitare solo, de Marie Chevalier à la basse et de François-Xavier « Effyx » Jollois à la batterie.

Très dans le style des Australiens de ANGEL CITY (Aussi connu sous le nom de THE ANGELS), à la limite du Rock et du Hard-Rock, le quatuor sortira deux EP en 2021 et 2022 avant de proposer son album  » Out of nowhere  » en 2022. Le 17 Mai 2024, c’est au tour de l’album suivant de voir le jour. « Gear up » propose 9 compositions pour près de 40 minutes de son dans un style entre Rock US et Australien. Il est édité via le label « M&O Music » et habillé d’une pochette représentant les quatre membres du groupe dans l’habitacle d’un véhicule prêts à écumer le bitume.

Biberonné aux Airbourne, AC/DC et autres Clutch, le quatuor de Power Rock électrise à très haute tension tous ceux qui s’approchent. Et ça commence avec « Power Rock » sur un rythme rapide et des guitares enfiévrées très australiennes. Nous ne sommes pas loin d’un AC/DC ou Airbourne, avec un refrain fédérateur et marquant à reprendre en chœur.

Avec une solide rythmique et une bonne dose de riffs accrocheurs, la bande nous emmène sur un « Cut like a knife » plus swinguant et Rock Hard, sur certains couplets alors que d’autres sont plus pêchus et Hard. Les guitares saturées sont toujours en avant et le refrain fait son œuvre de belle manière.

Les mélodies ne sont pas en reste et chaque chanson est suffisamment variée pour ne pas lasser. A l’image de « Head up, head out » qui débute sur un tempo lourd comme Black Sabbath aurait pu nous en proposer. Puis des guitares claires et douces accompagnent un chant plus suave et calme. L’intensité monte peu à peu et l’électrique se met en marche, entamant un refrain encore un fois à gueuler tous en chœur !

Alexandre au chant possède une tessiture pas très penchée dans les aigües ni les graves. Un chant plutôt Rock, qui accentue cet aspect chez RUSTHEAD. La basse ne fait pas figuration. Marie assure comme une cheffe, appuyant le jeu de Effyx à la batterie. La paire est au top.

Pour changer encore, « Another way of life » nous emmène vers un riff guitare et une ambiance très seventies, apportée par le son de la guitare. La suite est plus dans le swing et le chant est presque seul à meubler, les guitares n’opérant que par intermittence, à l’exception du refrain, encore une fois bien senti.

Ce n’est pas moins qu’un solo qui débute « Running away », qui enquille ensuite sur un swing et un jeu de basse groovy à souhaits, presque Funky, si ce n’était ces grattes saturées qui changent la donne pour un Rock Dur énergique. Ces différents passages et ambiances se succèdent les unes aux autres de belle manière.

Alors que « Bullet train » est plus sur un tempo lent, « I’m not a slave » est de son côté plus rapide, avec une bonne énergie. L’ombre de Angel City vole à nouveau sur la compo. C’est véritablement la plus grosse similitude musicale pour situer les frenchy.

La lenteur et le swing du Blues pour « Some kind of monster ». Tout en douceur, la compo déballe ses gammes jusqu’à ce que l’énergie monte crescendo et le rythme ne s’accélère, obliquant vers un Hard gras typé seventies.

L’écoute se termine sur « You drive me crazy » avec Ella Gunn en featuring. Une compo dans un style Rock Funk plus subtile au groove prégnant à la Police, proposant ses arcs plus énergiques et Rock.

RUSTHEAD avance son Power Rock / Rock US original et plein de fraicheur. Un style qui oscille entre Rock Hard et Hard Rock, à l’image de ANGEL CITY, avec cette même ambiance parfaitement rendue. Un groupe à suivre et qui augure du bon pour la suite. Avis aux amateurs…

Music In Belgium – 30 mai 2024 (lien vers chronique)

Groupe formé à Cherbourg en 2018 Rusthead pratique un power-rock teinté de hard-rock’n’roll et de rock US/australien avec manifestement un rendu musical qui, n’attend que la scène pour s’exprimer ce qui laisse entendre que, le groupe français propose des prestations scéniques puissantes ! A défaut de Live attardons-nous sur cet album studio pour malgré tout percevoir l’atmosphère du rock proposé qui manifestement, laisse transpirer un rock brut de coffrage tirant vers le rock’n’roll avec logiquement, un tempo bien cadencé qui pousse à taper du pied avec des riffs aux relents de hard-rock et bien sûr un petit solo de la 6 cordes : …

Une empreinte à mi-chemin du hard-rock et du rock’n’roll que l’on conserve de composition en composition avec peut-être, une direction artistique allant aussi vers le garage-rock voire le stoner lorsque, les riffs de guitare se font plus gras mais attention l’on perçoit à certains moments aussi des sonorités funky offrant finalement un rock aux multiples-couleurs !

Tout cela sonne vachement bien rock et ce pour le plus grand bonheur des puristes et des amateurs de rock pur jus qui, retrouveront ici de nombreux courants dissidents comme le grunge ou le stoner mais surtout l’esprit rock’n’roll ! Sur ce je vous propose un second extrait officiel qui lui-aussi, sent bon le rock brut de coffrage :

La formation française nous livre un album bourré jusqu’à la gueule de bon rock celui qui, nous fait taper du pied et dandiner du chef au rythme de ces foutus riffs de guitare, un opus qui fait honneur au rock’n’roll. Alors let’s rock…

Papy Jeff Metal – 28 mai 2024 (lien vers chronique)

Prepare yourselves for an electrifying experience, metalheads! Cherbourg’s very own Rusthead is here to jolt your senses with their high-voltage Power Rock. Founded in 2018 and nurtured on a steady diet of Airbourne, AC/DC, and Clutch, this four-piece band has been setting stages ablaze with their powerful riffs and infectious energy. Their second album, « Gear Up », dropped on May 17, 2024, via M&O Music, and it’s ready to deliver a sonic shockwave.

Rusthead’s journey began in the port city of Cherbourg in 2018. The band’s lineup solidified in September 2023, featuring Alex on lead vocals and guitar, Antoine shredding the lead guitar, Effyx pounding the drums, and Joe laying down the bass grooves. Together, they blend the raw energy of US and Australian rock into a unique sound that’s distinctly Rusthead.

Their debut album, released in 2022, was just a taste of what they could do. « Gear Up, » their latest offering, cranks everything up to 11 with support from Le Circuit. But the real magic happens live. Rusthead’s performances are a masterclass in rock showmanship, brimming with explosive riffs and a contagious enthusiasm that captivates every audience. Their stellar live shows earned them the top spot at the 2023 Le Circuit contest, paving the way for appearances at major festivals like Les Art’zimutés and Musikensaire this summer.

As someone who lives and breathes rock, Rusthead’s « Gear Up » hit me like a lightning bolt. This album is a powerhouse of infectious hooks and relentless energy. Alex’s gritty vocals and dynamic guitar work, paired with Antoine’s electrifying solos, create a soundscape that’s both nostalgic and refreshingly modern. Effyx and Joe lay down a rhythm section that’s tighter than a snare drum, driving each track forward with an unstoppable momentum.

What truly sets Rusthead apart, though, is their live presence. Their shows are not just concerts; they’re full-throttle rock ‘n’ roll experiences. If you’re anywhere near Cherbourg this summer, do yourself a favor and catch one of their gigs. Trust me, you’ll leave with a smile on your face and a ringing in your ears.

Rusthead is a band on the rise, and « Gear Up » is just the beginning. Keep your eyes and ears on these guys – they’re set to rock the world one stage at a time.

Metal Rock Magazine – 17 mai 2024 (lien vers chronique)

RUSTHEAD c’est un groupe de Power rock Cherbourgeois, fondé en 2018, un quatuor biberonné aux Airbourne, AC/DC et autres Clutch. Ce 17 mai 2024 ils nous dévoilent leur deuxième album « Gear Up » via M&O Music.

POWER ROCK : On débute cet album avec une belle dynamique bien rock, les riffs sont accrocheurs, c’est bien groovy. Tout ce qu’on adore entendre d’un bon rock.

CUT LIKE A KNIFE : Une ambiance plus lourde, plus grave, le chant se place à la perfection. Les riffs sont acérés la rythmique est au top !

HEAD UP HEAD OUT : Ce morceau est très bon un bon rock old school, un des titres à retenir !

ANOTHER WAY OF LIFE : Une belle ambiance à la Airbourne pour ce morceau. Ça nous transporte, la mélodie est prenante, les riffs accrocheurs.

RUNNING AWAY : Dés les premières notes on sent le morceau qui met de bonne humeur, c’est très groovy, le chant est parfait. Le petit solo est à retenir également.

BULLET TRAIN : Ce morceau on est clairement sur l’influence AC/DC ça se ressent à la batterie, le chant dans la manière où il est posé, et les riffs ! Un beau petit clin d’œil !

I’M NOT A SLAVE : Une superbe énergie sur ce morceau, tout est réunis, un chant parfait, des riffs puissants, une basse groovy, une belle rythmique et un refrain qui accroche.

SOME KIND OF MONSTER : Avant dernier titre de l’album, c’est plutôt posé sur le début, ennivrant. Une réussite !

YOU DRIVE ME CRAZY : Dernier morceau pour clôturer l’album avec un petit Featuring avec Ella Gunn. Le mélange des deux voix est plutôt sympa. Un morceau remplis de peps. Un refrain bien catchy.

Pour résumer RUSTHEAD nous offre la un deuxième album très réussi . Les amateurs de rock old school devrait adoré, mais pas seulement, on est jamais contre du bon rock. Et c’est clairement ce que RUSTHEAD nous offre là avec des riffs accrocheurs, une ambiance bien groovy. Un régal du début jusqu’à la fin.

Soil Chronicles – 17 mai 2024 (lien vers chronique)

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Dites voir, les gars, Sydney, c’est en Normandie ?
C’est franchement à se demander tant le quatuor de Cherbourg nous sort un deuxième album emprunt de cette moiteur ambiante inhérente au genre que Rose Tattoo et plus récemment Aibourne nous offrent depuis belle lurette.
C’est que Rusthead s’y entend pour nous coller du riff digne des groupes de l’autre côté de la planète. Mais si vous pensez que la scène australienne est la seule qui les a influencés, c’est vous coller le médiator dans l’oeil bien profond : je t’en foutrais oui, ça hume aussi bon l’ambiance rock ‘n’ rollante des vieux rades qui puent bon la sueur et l’huile de moteur.
Pour un peu, on aurait des envies de passer des soirées au Road House, voire au Titty Twister en écoutant les neuf titres de ce “Gear up”, tous taillés pour la scène histoire de coller du riff taillé à la hache, ainsi que du couplet et du refrain à rechanter en choeur avec le groupe pendant leurs concerts.

Ici, point de modernité : on arpente les sentiers ultra balisés du (hard) rock un rien bluesy aux sonorités guitaristiques dignes des frangins Young et au chant roc(k)ailleux entretenu à la clope et au Bourbon !
Et en prime, on se prend quelques choeurs féminins dans la tronche histoire d’espérer y voir la bande sonore d’un quelconque concours de tshirts mouillés.
Non, mais j’vous jure, les quatre artistes s’y entendent pour nous faire swinguer pendant 40 minutes et on en rêve de les voir un jour sur scène en compagnie d’Overdrivers ou, soyons fous, d’Airbourne tant ils y mettent une conviction incroyable.

On a droit à du nerveux (“Power rock”, “Another way of life”, le très ZZ Top “I’m not a slave”), du plus posé mais tout aussi efficace (“Cut like a knife”, le plus Zeppelinien “Bullet train”), du low tempo à limite du sensual (“Head up, head out”), de la ballade brin bluesy qui s’énerve dans sa deuxième partie (“Some kind of monster”), du pur feeling (“Running away”) et même un plus funky “You drive me crazy” sur lequel on a droit à un peu plus de chant féminin. Et tout ces titres ont pour dénominateur commun un sens du couplet et du refrain tout ce qu’il y a de plus accrocheur.

Comme quoi, Cherbourg ne nous a pas enfanté que des soeurs jumelles et des parapluies…
Un pur kif !

C’est à Cherbourg – 14 mai 2024

Radio Flam – 13 mai 2024

ODYMETAL – 9 mai 2024

442ème rue – fanzine 147 – avril 2024

Rock Made In France – 26 avril 2024

C’est ma Ville – Juin 2023

La Presse de la Manche – 8 mai 2023

NRJ Cherbourg – 24 Avril 2023

Ouest France – 21 Avril 2023

Radio Flam – 21 Avril 2023

Interview diffusée le 21 avril 2023 sur Radio Flam.

Actus.fr – 20 Avril 2023

La Presse de la Manche – 20 Avril 2023

Coups de coeur du mois RiffX

Nous avons été choisi comme Coups de Coeur Avril 2023 par RiffX, en particulier notre morceau Shake It, Break It

Interview Hag’FM

Interview réalisé le 24 mars 2023 sur la radio Hag’FM. Disponible aussi sur YouTube.

Interview France Bleu Cotentin

Interview réalisé le 23 février 2023 lors de l’émission 16/19, dans la rubrique Ca se passe dans la Manche.

Review AddToWantlist.com

« Did you already know Rusthead? It’s an alternative rock outfit from Cherbourg En Cotentin, France, featuring Alexandre Lebiez (vocals), Antoine Giner (guitar, backing vocals), Jean Hardy (bass, vocals) and François-Xavier Jollois (drums). Each band member brought his own taste in music – blues rock, garage rock, grunge or hard rock – and a combination of those influences can be heard on their full-length debut album .​.​. Out Of Nowhere. You’ll hear 11 energetic songs, with heavy guitar riffs and solos, driving drum rhythms and powerful vocals. It’s straightforward rock, as fans of this genre expect – listen to standout track Underwater for example. But wait for it… in closing song Give Me A Mic, No-Za provides a surprising hip-hop twist that ends the LP with a bang. »

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